Un sommet sur la guerre Ukraine-Russie a été organisé au Bürgenstock Resort en Suisse par des pays de l’occident immédiatement après leur rencontre au G7 en Italie.
D’autres pays non membre du G7 ont participé à ce sommet.
La liste des pays participants comprend cinquante-sept chefs d’État, vice-chefs d’État ou chefs de gouvernement, trente ministres et cinq envoyés, représentant quatre-vingt-douze pays. Mais, la Russie et la Chine n’ont pas été invitées.
Comment pouvez-vous organiser un sommet qu’ils ont appelé Conférence de haut niveau sur la paix en Ukraine. C’est ni plus ni moins un sommet sur la guerre.
Quand on veut organiser un sommet sur la paix, on invite les deux partis impliqués dans le conflits à une table de négociation et plusieurs de leurs voisins. Ce n’est pas ce qui a été fait. La Russie n’était pas la bienvenue.
Durant les deux jours que s’est tenu le sommet sur la guerre, les 15 et 16 juin, les dirigeants occidentaux comme le premier ministre du Canada Justin Trudeau ont été très agressifs envers la Russie.
La propagande ukrainienne a mal traduit les propos de la première ministre italienne Giorgia Meloni. Initialement, il avait été transmis dans les médias que la première ministre italienne avait tenu les propos suivants : Si la Russie n’est pas d’accord avec notre proposition, nous la forcerons à se rendre.
Or les propos tenus par la première ministre italienne sont plutôt ceux-ci : Si l’Ukraine n’avait pas pu compter sur notre soutien, elle aurait été contrainte de se rendre.
Ainsi, au sommet de la guerre, le président de l’Ukraine était aussi très agressif et se pavanait comme un jar, lui qui avait en poche un chèque de 50 milliards obtenu au sommet du G7 la veille.
Ce sommet était une mascarade et ni plus ni moins un sommet pour la guerre organisé par les États-Unis qui ne veulent aucunement la paix, mais alimenter leur machine de guerre en contribuant à forcer les pays de l’OTAN à respecter leurs cotisations et leurs budgets militaires.
Cette guerre se terminera quand il y aura un vrai sommet de la paix et que des pays vraiment impliqués dans le conflit et ceux limitrophes participeront à un tel sommet.
Le fait de le tenir en Suisse, pays historiquement neutre, donnait l’impression d’un sommet pour la paix, c’était plutôt un sommet pour la guerre.
Ce sommet pour la guerre a abouti à une déclaration finale que plusieurs pays présents n’ont pas voulu signer vu leur désaccord. Ces pays sont : Afrique du Sud, Arabie Saoudite, Arménie, Bahrein, Colombie, Émirats arabes unis, Inde, Indonésie, Jordanie, Libye, Mexique, Rwanda, Thaïlande,
Il y a eu abstention du Brésil et du Vatican. Bien sûr, les organisateurs avaient invité le pape catholique lui-même à ce sommet sur la guerre. Chose loufoque, car ni les ukrainiens, ni les russes, sont catholiques. La plupart sont orthodoxes. Il aurait donc fallu aussi inviter le patriarche de l’Église orthodoxe à ce sommet. Comme quoi c’était réellement de la frime et un sommet sur la guerre, et non sur la paix.
La Russie réagit dès le lendemain à ce sommet sur la guerre ; le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a déclaré que « si on parle des résultats de ce sommet, ils sont proches de zéro » et que « toute discussion sérieuse n’a aucun avenir sans la présence de la Russie.
Il est évident qu’un sommet supposément sur la paix, organisé sans la Russie, est totalement loufoque. C’était donc un sommet sur la guerre, probablement qu’en coulisses de ce sommet, tout plein de décisions se sont prises.
Après ce sommet sur la guerre, la guerre en Ukraine continuera tant et aussi longtemps que l’occident y enverra des armements et des gens pour former les soldats ukrainiens à les utiliser.
Vous verrez dans les prochaines semaine après ce sommet sur la guerre, quelle tournure cette guerre prendra. Les combats seront de plus en plus violents et ils pourraient s’étendre hors des zones actuelles.
C’est dommage tout cela, car, pourtant, au printemps 2022, quelques semaines après l’invasion russe en Ukraine, le président Zelenskyy voulait cesser la guerre, mais le premier ministre britannique Boris Johnson a saboté cela.
Comme quoi l’occident veut la guerre et que l’Ukraine doit se soumettre à sa volonté, ce qui incluait sa participation à ce sommet sur la guerre.
Jusqu’ici dans cette guerre, les pertes militaires se chiffreraient du côté ukrainien entre 50 000 et 500 000 soldats, selon les sources. Du côté Russe, ce serait entre 10 000 et 50 000 soldats.
Le danger de cette guerre est que l’occident, via sa machine de guerre, l’OTAN, fourni à l’Ukraine des armes de plus en plus puissante et celle-ci finira par attaquer le territoire russe et c’est là que le conflit pourrait dégénérer et être multiple fois plus violents en termes de pertes humaines.
Pour l’instant l’armée russe a épargné la capaitale Kyiv, il n’est pas dit que si la Russie n’obtient pas ce qu’elle veut que son armée ne rasera pas Kyiv comme Groznyï l’a été durant la guerre entre la Russie et la Tchétchénnie.
Le président ukrainien Zelenskyy joue le jeu que les États-Unis veulent imposer, mais il n’est pas aussi con qu’il en a l’air. Il sait le sort que sa capitale pourrait subir si son armée ne fini pas par se rendre. Mais à coup de milliards reçus de pays de l’occident, il se tait, joue le jeu et fait la marionnette des États-Unis,
Il a joué le jeu à ce sommet sur la guerre, car de nombreuses rumeurs soutiennent que le président Zelenskyy s’achète nombreux biens immobiliers ici et là sur la planète. Fausses ou fondées ces rumeurs ? Il n’y a jamais de fumée sans feu. La réelle question, comment arrivent-ils à se payer tout cela ?
Sur le terrain, la colère monte en Ukraine contre le président Zelenskyy, certains réclament des élections, Zelensyy est au pouvoir depuis avril 2019, des élections présidentielles auraient dû être tenues en Ukraine en 2023, vu la guerre, le président ne les a pas tenu.
Il n’y a toujours pas eu d’enquêtes sur l’ingérence étrangère aux élections de 2019, car tous se demandent encore comment un comédien, Zelenskyy, sans aucune expérience politique et avec un parti fondé deux ans plus tôt, a pu remporter des élections avec un score de 74,8%,
Est-ce que les Américains étaient présents sur le terrain pour influencer le vote de l’élection et pouvoir ainsi, quelques années plus tard , alimenter leur lucrative machine de guerre ?
Comme l’a si bien écrit Smedley Butler dans son livre, La guerre est un racket (War is a racket). Son livre se résume pas mal à cette phrase. Les réelles raisons d’une guerre ne sont jamais celles que les médias vous rapportent.
Pour le moment, le seul espoir que cette guerre se termine avant le printemps 2025, est l’élection de Donald Trump comme président des États-Unis. Autant Vladimir Poutine président de la Russie et les Démocrates de Joe Biden, instigateur de cette machine de guerre nourrit par l’occident en Ukraine, savent qu’avec Donald Trump cette guerre se terminera rapidement et que les masques tomberont et que certains dirigeants Démocrates et leurs complices pourraient être traduits en justice. C’est pour cette raison que les Démocrates font la guerre en justice à Donald Trump. Ils ne veulent pas le voir élire et ils mènent une guerre sans merci contre le choix du peuple.