Pascal Vincent a été nommé ce matin entraîneur-chef du Rocket de Laval, club ferme des Canadiens de Montréal de la Ligue Nationale de Hockey (LNH).
Vincent dirigeait les Bluejackets de Columbus la saison dernière et le résultat escompté par la direction n’est jamais venu.
Les Bluejackets ont complété leur saison au dernier rang de leur division avec une fiche de 27 victoires, 43 défaites et 12 défaites en prolongation pour 66 points.
La direction des Bluejackets a fait le grand ménage au 2e étage et Pascal Vincent a finalement écopé à son poste d’entraîneur-chef.
À Montréal, Martin St-Louis semble bien en selle à son poste d’entraîneur-chef, mais la réalité est qu’il est assis sur un siège éjectable.
Ça ne sera pas une grosse nouvelle pour personne, les Canadiens ne se sont pas améliorés en vue de la saison prochaine et la performance de l’équipe s’annonce désastreuse.
Une défensive poreuse et des gardiens de calibre de la ligue américaine. Ça ne s’annonce pas très bien.
En poste depuis le 9 février 2022, St-Louis est le 5e entraîneur-chef qui est le plus longtemps à son poste. Et il compile un affreux dossiers de 75 victoires, 100 défaites et 26 défaites en prolongation en 201 rencontres, pour un pourcentage de victoire de 43,8.
Ainsi, en nommant Pascal Vincent à Laval, les Canadiens s’assurent d’avoir un jeune entraîneur à leur disposition pour, à la fin de la prochaine saison, remplacer St-Louis, qui devrait, selon nos prédictions, connaître une saison de 29 victoires, 41 défaites et 12 défaites en prolongation.
Ce qui amènerait St-Louis à une fiche de 104 victoires, 141 défaites et 38 défaites en prolongation. Assez affreux !
Certains féfans ne seront pas d’accord avec notre prédiction, mais au moment d’écrire cet article, (15 juillet 2024), les Canadiens n’ont pas vraiment amélioré leur défensive et il y a un gros questionnement sur la capacité des gardiens actuels, Samuel Montembeault et Caydn Primeau à remporter des matchs, eux qui ont été plus qu’ordinaires lors de la dernière saison.